BSH Grand Est mai 2019

Synthèse du mois


Sur le bassin Rhin-Meuse, bien que déficitaires sur une grande partie du bassin, les précipitations de ce mois de mai ont contribué à améliorer la situation hydrologique générale par rapport au mois d’avril. Grace à cet apport, les débits moyens mensuels de ce mois se rapprochent globalement de la moyenne interannuelle.
En ce qui concerne les débits minimaux sur trois jours consécutifs (VCN3) qui ont été relevés avant les précipitations, ils restent encore en grande majorité inférieurs aux normales de saison (période de retour de 5 à 10 ans secs sur les secteurs les moins arrosés).


Au mois de mai sur le bassin Seine-Normandie, la pluviométrie a été marquée par de nombreux épisodes orageux très localisés.
Le débit moyen mensuel des cours d’eau est globalement proche de la normale pour la période et supérieur à la normale sur la moitié nord du territoire.

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Les niveaux moyens mensuels des nappes de la région Grand Est retrouvent des valeurs conforme à un mois de mai, à l’exception de certains secteurs, notamment les nappes de la craie de Champagne-Ardennes, la nappe d’Alsace au sud de Colmar, dont les niveaux restent très inférieurs aux niveaux observés habituellement pour un mois de mai. La tendance d’évolution des niveaux du mois est très hétérogène à l’échelle de la région mais la tendance est toutefois à la baisse pour la toute fin du mois.

Pluviométrie

Le bilan est déficitaire sur l’Alsace et la Lorraine et excédentaire sur la Champagne-Ardenne

§ Pluviométrie du mois

- Lorraine

Le nombre de jours de pluie supérieure ou égale à 1 mm est compris entre 6 et 14 jours.
Le nombre de jours de pluie supérieure ou égale à 10 mm est compris entre 0 et 6 jours.
La 1ère décade est plus arrosée que les deux autres.

Le cumul mensuel de précipitations agrégées pour la Lorraine est de 72.6 mm soit un déficit global de 11%.

Les cumuls sont compris entre 50 mm et 100 mm voire 150 mm sur le relief vosgien et le département de la Meuse.

Le bilan par rapport à la normale est déficitaire pour les départements de la Meurthe-et-Moselle, la Moselle et les Vosges et excédentaire sur la Meuse :
* pour la Moselle, le bilan s’étage d’ouest en Est, d’excédentaire sur la limite ouest du département jusqu’à 125%, puis proche de la normale sur une petite moitié ouest à déficitaire sur le reste du département, de 10% à 25% et jusqu’à 50% dans le sud-est
* en Meurthe-et-Moselle, le département affiche un excédent sur la moitié nord, compris entre 110% et 125% alors que la moitié sud est déficitaire avec un déficit compris entre 10% et 50%
* pour la Meuse, l’excédent est global, de proche à la normale sur la moitié sud à 125% d’excédent sur la moitié nord et jusqu’à 150% dans le nord-ouest du département
* pour les Vosges, le département affiche un déficit compris entre 10% et 25% à l’exception d’une bande nord-sud autour d’Epinal où le défcit est plus marqué, de 25% à 50%.

- Alsace

Le nombre de jours de pluie supérieure ou égale à 1 mm est compris entre 6 et 18 jours.
Le nombre de jours de pluie supérieure ou égale à 10 mm est compris entre 0 et 5 jours.
La 1ère décade est plus arrosée que les deux autres.

Le cumul mensuel de précipitations agrégées pour l’Alsace est de 71.5 mm soit un déficit global de 20%.

Les cumuls sont compris entre 50 mm et 100 mm, voire 150 mm sur l’extrême sud du Haut-Rhin et localement sur le relief vosgien.

Le bilan par rapport à la normale est déficitaire sur chaque département :
* Pour le Bas-Rhin : le bilan est proche de la normale dans le nord-est du département et déficitaire sur le reste du département, de 10% à 25% mais avec un déficit plus marqué sur le relief vosgien jusqu’à 50%
* Pour le Haut-Rhin : le déficit est plus accentué sur une large moitié nord jusqu’à Mulhouse, de 25% à 50%, alors que sur l’autre moitié il n’atteint que 25%.

- Champagne-Ardenne

Le nombre de jours de pluie supérieure ou égale à 1 mm est compris entre 9 et 14 jours.
Le nombre de jours de pluie supérieure ou égale à 10 mm est compris entre 0 et 5 jours.
La 1ère décade est plus arrosée que les deux autres.

Le cumul mensuel de précipitations agrégées pour la Champagne-Ardenne est de 77.4 mm soit un excédent global de 6%.

Les cumuls sont compris entre 50 mm et 100 mm voire 150 mm sur le département de la Marne.

Le Bilan par rapport à la normale est déficitaire pour le département des Ardennes, proche de la normale pour l’Aube et la Haute-Marne alors que le département de la Marne est largement excédentaire :
* Pour la Haute-Marne : le bilan est proche de la normale sur une large zone centrale, excédentaire jusqu’à 125% dans le nord-ouest et déficitaire dans le sud-est, de 10% à 50% dans l’extrême sud-est du département
* Pour l’Aube : le bilan s’étage d’excédentaire sur la limite nord du département jusqu’à 125%, puis une zone centrale, au nord de Troyes, proche de la normale et enfin une zone déficitaire jusqu’à 25% au sud de Troyes
* Pour la Marne : le département affiche globalement un excédent, compris entre 1.25 et 2 fois la normale dans la majeure partie du département mais moins accentué sur les bords nord-ouest, sud et Est du département, de 110% à 125%
* Pour les Ardennes : le bilan déficitaire sur tout le département, jusqu’à 25% sur une large moitié nord, reste cependant proche de la normale sur le reste du département.

§ Pluviométrie de septembre 2018 à mai 2019

Pour cette période, le bilan est déficitaire sur tout le Grand Est :
* pour la Lorraine : compris entre 10% et 50%, avec toutefois une zone proche de la normale à l’extrême nord-ouest de la Meurthe-et-Moselle
* pour l’Alsace : en moyenne compris entre 10% et 25% mais, moins accentué, proche de la normale, au centre du Bas-Rhin alors que le déficit est plus marqué, de 25% à 50%, dans le nord-est du Bas-Rhin et localement dans le Haut-Rhin, au sud du Mulhouse
* pour la Champagne-Ardenne : déficit compris entre 10% et 50% pour les départements de la Haute-Marne et l’Aube, de proche de la normale à 25% de déficit pour la Marne alors que le bilan dans les Ardennes s’étage, de proche à la normale dans le centre-ouest à 25% de déficit sur le reste de ce département.

§ Pluies efficaces.

Le cumul des pluies efficaces est hétérogène sur la région :
* pour la Lorraine, il est compris entre -25 mm et 25 mm en Moselle et Meurthe-et-Moselle, il en est de même pour le département de la Meuse avec cependant une zone plus excédentaire jusqu’à 50 mm dans le nord-ouest du département comme dans le département des Vosges qui affiche des cumuls jusqu’à 50 mm sur le relief vosgien
* pour l’Alsace, il est globalement compris entre -25 mm et 0 mm voire 25 mm localement dans le nord-est du Bas-Rhin ainsi que sur le relief haut-rhinois et dans l’extrême sud du Haut-Rhin où les cumuls grimpent jusqu’à 75 mm
* pour la Champagne-Ardenne, alors que les départements de l’Aube, des Ardennes et de la Haute-Marne présentent des cumuls compris entre -25 mm et 25 mm voire 50 mm localement dans le nord-ouest de la Haute-Marne, le département de la Marne affiche des cumuls globalement positifs jusqu’à 50 mm.

Le cumul de pluies efficaces de septembre 2018 à mai 2019 reste positif et est compris :

* pour la Lorraine, entre 100 mm et 300 mm, jusqu’à 400 mm dans le nord-est de la Moselle et sur une grande partie du département de la Meuse et jusqu’à 500 mm sur l’extrême nord-ouest de la Meurthe-et-Moselle et 750 mm sur le relief vosgien
* pour l’Alsace, entre 100 mm et 200 mm dans la plaine au nord de Mulhouse, jusqu’à 300 mm au sud de Mulhouse, et, sur le relief, jusqu’à 500 mm dans le Bas-Rhin voire 750 mm dans le Haut-Rhin
* pour la Champagne-Ardenne, compris entre 100 mm et 300 mm pour les départements de la Marne et de l’Aube, entre 200 mm et 400 mm en Haute-Marne et, de 200 mm du sud du département des Ardennes jusqu’à 500 mm au nord de ce département.

§ Eau dans le sol au 01/06/2019

L’indice d’humidité des sols au 01/06/2019 est compris entre 0.45 (localement sur l’Aube, la Meuse, la Meurthe-et-Moselle et le Haut-Rhin) et 0.85 (relief vosgien et extrême sud du Haut-Rhin).
Cela génère un écart pondéré à la normale hétérogène, entre -10% et +20% en Champagne-Ardenne (voire +40% dans le département de la Marne), entre -20% et +10% en Lorraine (voire +20% en Meuse) et, en Alsace, entre -20% (-30% sur le relief bas-rhinois et localement en plaine haut-rhinoise) et 0% voire jusqu’à 10% dans le sud du Haut-Rhin.

(Source : Météo-France)

Eaux superficielles


Sur les stations du bassin du Rhin les hydraulicités des cours d’eau pour le mois de mai 2019 sont inférieures ou proches des normales selon les secteurs.
Les cours d’eau bénéficiant d’un soutien hydraulique (Doller, Thur) ainsi que le secteur de l’Ill aval-Bruche ou le Rhin proposent des hydraulicités plutôt conformes aux normales. Le sud de l’Alsace ainsi que la Zorn ou la Moder accusent les plus forts déficits (de -50 à -40%) avec des hydraulicités de 0.6 sur le bassin de l’Ill amont et de 0.5 sur la Moder.

Sur le bassin de la Sarre, les débits moyens sont inférieurs aux moyennes interannuelles. Des hydraulicités de 0.6 (-40%) sont observées sur l’ensemble du cours d’eau et ses affluents.

Sur les bassins de Meuse et de la Moselle, les précipitions de la deuxième semaine de mai ont nettement contribué à une amélioration de la situation hydrologique par rapport au mois d’avril.
Les débits moyens observés sont proches des moyennes interannuelles pour la Meuse et la Moselle aval mais restent en dessous des moyennes interannuelles (entre 40 et 80 %) pour la Moselle amont et médiane et notamment la Meurthe.

Sur les bassins de la Seine Normandie, une hausse est observée sur tous les cours d’eau par rapport au mois d’avril sauf sur l’Aube et la Seine où les débits moyens restent similaires au mois précédent.
Les débits moyens du mois de mai sont donc majoritairement supérieurs à la normale avec des débits supérieurs à 120 % du débit moyen mensuel, sauf sur la Seine et l’Aube où il se situe entre 40 et 80 %.

Sur le bassin du Rhin, le débit minimal enregistré pendant 3 jours consécutifs correspond à des périodes de retour qui s’orientent généralement vers des valeurs proches ou juste en dessous des normales.

Sur le bassin de la Sarre le débit minimal enregistré pendant 3 jours consécutifs correspond à des périodes de retour proches du médian.

Sur les bassins de la Meuse et de la Moselle, comme pour le mois d’avril et ce malgrés les précipitations observées la deuxième semaine de mai, les débits minimaux enregistrés pendant 3 jours consécutifs sont majoritairement inféreurs au médian (période de retour de 5 à 10 ans sec) pour
la Moselle et la Meuse amont et proche du médian pour la Meuse aval.

Sur les bassins de la Seine Normandie, les débits minimaux sur trois jours consécutifs sont
globalement inférieurs au médian, ce qui était déjà le cas au moins d’avril. En revanche, les niveaux sur l’Aisne amont
et la Marne amont sont en hausse depuis le mois dernier et les débits minimaux sur trois jours consécutifs sont désormais
supérieurs au médian.

Eaux souterraines


Les pluies tombées pendant la première décade du mois ont permis d’amortir la décharge débutée le mois dernier sur les nappes de Lorraine. La tendance d’évolution des niveaux des nappes est très hétérogènes suivant les secteurs et les piézomètres, pour autant la tendance à la vidange des nappes est revenue en fin de mois. Les niveaux moyens mensuels observés restent proches des normales d’un mois de mai sur la majorité des piézomètres, avec toutefois des piézomètres à des niveaux très bas (Gelacourt, Celles-sur-Plaine, Grandvillers).

L’évolution des niveaux moyens de mai par rapport au mois dernier est variable en Alsace selon les secteurs de nappe.
Dans le Bas-Rhin, les moyennes sont majoritairement en hausse dans la moitié nord, sauf dans l’extrême nord-ouest, et plutôt en baisse dans la moitié sud (-5 cm à Lipsheim, -12 cm à Rossfeld). Les niveaux se situent dans l’ensemble autour de la moyenne, ou modérément bas dans de rares secteurs.
Dans le Haut-Rhin, Les moyennes sont en baisse au nord (-5 cm à Holtzwihr), dans le secteur de la Thur et le Sundgau oriental (-4 cm à Habsheim). Ailleurs, la tendance est à la hausse : de +5 cm en centre plaine, à +11 cm en zone de bordure (secteur Fecht), jusqu’à +18 cm le long du Rhin (Fessenheim). Les niveaux restent partout inférieurs aux normales saisonnières dans le département, de modérément bas, à bas. Seul le secteur du Sundgau oriental reste très bas, avec un niveau encore jamais atteint pour un mois de mai depuis 1955.

Les nappes en Champagne-Ardenne sont toutes entrées dans leur phase de vidange annuelle en ce mois de mai 2019. Les niveaux des nappes sont globalement bas à modérément bas sur la majorité des points de surveillance avec l’indentification d’un épisode de recharge conséquent qui tend à minimiser ce tarissement au cours du mois. Le secteur de la Craie Champenoise Sud et Centre conserve des niveaux bas à très bas malgré cet événement météorologique.
(Sources : BRGM, APRONA, Délégation de bassin Rhin-Meuse)


Une liste des piézomètres de la région Grand est disponible en téléchargement ci-dessous. Le tableau contient des liens vers les informations relatives à chaque point de mesure.

Réservoirs


Pour les réservoirs et barrages de la région Grand Est, le niveau de remplissage global est de l’ordre de 89% pour les retenues destinées au soutien de l’étiage et de l’ordre de 84% pour les retenues destinées à la navigation. Pour les retenues destinées à l’alimentation en eau potable, le réservoir de Madine affiche un taux de remplissage de 97% et la retenue de Michelbach de 99%.

Liens utiles…..


Vigicrues :
https://www.vigicrues.gouv.fr/

Le suivi de l’étiage :
http://www.grand-est.developpement-durable.gouv.fr/etiage-secheresse-r244.html

La banque hydro :
http://hydro.eaufrance.fr/

Le portail d’accès aux données sur les eaux souterraines :
http://www.ades.eaufrance.fr/

Glossaire

Thème 1. Météorologie :

Évapotranspiration :
Quantité d’eau consommée qui comprend d’une part l’eau transpirée par la plante, d’autre part l’évaporation directe à partir du sol, exprimée en millimètre.

Évapotranspiration Potentielle ETP :
Correspond à la quantité maximale d’eau transpirée par les végétaux et à l’évaporation du sol dans des conditions idéales.

Normale (météorologique) :
Moyenne de variables météorologiques calculées sur une période uniforme relativement longue choisie par consensus et telle qu’une moyenne établie sur toute période plus longue n’ait pas une valeur significativement différente. En météorologie, une période de 30 années a été retenue par l’Organisation Météorologique Mondiale (OMM). Les périodes de référence furent 1901-1930, 1931-1960, 1951-1980, et actuellement la période est 1971-2000.
Attention, à ne pas confondre avec la moyenne (voir définition dans ce glossaire).

Pluie efficace (ou bilan hydrique potentiel) :
Différence entre les cumuls de précipitations (RR) et l’évapotranspiration potentielle (ETP). Elle peut donc être négative.

RR (Rainfall Runoff) :
Cumul de précipitations, généralement exprimé en millimètre de pluie (mm).

Thème 2. Hydrologie :

Débit  :
Volume d’eau écoulé par unité de temps généralement exprimé en mètre cube par seconde (m3/s).

Débit de pointe de crue :
Débit instantané maximum observé.

Débit de base (VCN 3) :
Le VCN 3 correspond au débit moyen minimal calculé sur 3 jours consécutifs sur une période donnée. La date du VCN3 correspond au premier des trois jours considérés.

Débit moyen journalier (QMJ) :
Le débit moyen journalier correspond au volume écoulé sur une journée rapporté à l’unité de temps, et généralement exprimé en m3/s.

Hydraulicité mensuelle :
Rapport du débit moyen du mois considéré à la moyenne historique du mois considéré. Elle permet de positionner un mois par rapport à un mois moyen.

Module mensuel :
Moyenne de l’ensemble des débits moyen mensuels d’un mois considéré, calculé sur l’ensemble de la période d’observation de la station.

Thème 3. Piézométrie :

Aquifère (ou nappe d’eau souterraine) :
Formation géologique contenant de façon temporaire ou permanente de l’eau mobilisable, constituée de roches perméables et capables de la restituer naturellement et/ou par exploitation. On distingue deux types d’aquifères :
- Aquifère à nappe libre : l’aquifère reposant sur une couche très peu perméable est surmonté d’une zone non saturée en eau.
- Aquifère captif (ou nappe captive) : dans une nappe captive, l’eau souterraine est confinée entre deux formations très peu perméables. Lorsqu’un forage atteint une nappe captive, l’eau remonte dans le forage.

Niveau piézométrique :
Niveau auquel peut monter l’eau d’une nappe dans un tube (le piézomètre) lorsqu’on réalise un forage. Ce niveau correspond à la pression de la nappe, il est généralement donné en mètres NGF.

Piézomètre :
Tube foré dans le sol atteignant la nappe phréatique et permettant de mesurer son niveau. Certains puits ou forages qui ne sont plus exploités aujourd’hui servent également de piézomètres.

Thème 4. Statistique

Fréquence :
Pourcentage de chance qu’un événement se produise sur une période donnée.

Fréquence quinquennale (respectivement décennale) sèche ou humide :
Valeur-seuil dépassée 20 % (respectivement 10 %) du temps.

Médiane :
Valeur qui divise une séquence ordonnée de données en deux parties strictement égales. En l’absence de valeurs toutes similaires, la moitié des observations sera inférieure et l’autre moitié sera supérieure à la médiane. Elle est aussi appelée normale en hydrologie.

IPS (Indicateur Piézométrique standardisé) :
Il est défini sur une échelle dite « standard », sa valeur numérique varie entre –3 et +3 (sans unité), il facilite le calcul d’un indicateur global à partir d’un indicateur ponctuel, il permet d’avoir une vision homogène de l’état des nappes libres (ou captives) à l’échelle nationale.

Période de retour (ou durée de retour) :
Inverse de la fréquence, généralement exprimée en nombre d’années. Par exemple, pour une fréquence quinquennale (soit 20%, donc 1/5ème), la période de retour est de 5 ans.

COTECO :
Comité Technique de Coordination de l’EPTB Seine Grands Lacs.

EPTB Seine Grands Lacs :
Etablissement Public Territorial de Bassin Seine Grands Lacs.

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